Vousregardez : 2001 ODYSSÉE DE L’ESPACE – Affiche de cinéma originale – 40X60 20,00 € Ajouter au panier Ceci n'est pas encore une boutique en ligne mais un catalogue produits — pour passer commande, nous vous prions
> Cinéma>2001 l'odyssée de l' État Nouveau produittitre original A space odysseeaffiche ressortie des années 70 pour un film de 1968taille 120x160 cmréalisateur Stanley Kubrickacteur Richard Strauss, Györkgy Ligeti, Johann Straus llimprimeur Lalande-Courbetétat très bontype impression offsetconditionnement pliée Envoyer à un ami Imprimer
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Découvrezcette affiche du film 2001 : l'odyssée de l'espace réalisé par Stanley Kubrick. Photo 21 du film 2001 : l'odyssée de l'espace sur 56 photos disponibles sur AlloCiné Stanley Kubrick n'a pas toujours été un monstre obsessionnel qui exerçait le contrôle absolu sur le moindre détail de ses films, ainsi que la légende, soigneusement alimentée par lui-même, l'a toujours prétendu. Il lui est aussi arrivé d'être assailli par le doute et la trouille de l'échec. Comment expliquer les raisons qui l'on poussé à amputer son 2001, l'odyssée de l'espace d'une vingtaine de minutes, après une première projection qui avait frôlé la catastrophe ? Dix-neuf minutes selon certains, dix-sept selon d'autres, passées à la trappe, que presque personne n'a revues après le 10 avril 1968, jour du lancement du film aux Etats-Unis. Depuis plus de quarante ans, elles alimentent les fantasmes des inconditionnels de Kubrick et ce n'est pas été, la nouvelle de l’exhumation de ces images manquantes a fait le tour des sites spécialisés. Au festival de Toronto, deux documentaristes américains ont annoncé que les plans avaient été retrouvés dans un coffre d’une ancienne mine du Kansas détenue par la Warner, et que le matériel était dans un état de conservation personnes quittent la salleLe premier des documentaristes à l'origine de la nouvelle est Douglas Trumbull et il connaît bien la question pour avoir été, à 26 ans, l'un des responsables des effets spéciaux de 2001. Le second, David Larson, est sans doute le meilleur spécialiste au monde de ce film hors norme. De son propre aveu, sa vie a changé l'année de ses 12 ans quand il a découvert 2001 au Cinestage Theater de Chicago, une grande salle à balcon avec écran incurvé Cinerama. Depuis plus de dix ans, il a consacré son énergie à réunir les témoignages de tous ceux qui ont participé au film. Du moins, ceux qui sont encore en vie.J'ai débuté mes recherches en 2001 en commençant par interroger Frederick I. Ordway qui a été le principal consultant scientifique sur le film. Je voulais écrire un livre sur lui, raconte Larson. Ensuite, j'ai rencontré Douglas Trumbull avant de poursuivre ce cycle d'interviews pour réunir le témoignage d'au total 165 personnes. En 2006, Doug m'a proposé de travailler avec lui pour réaliser un documentaire, ce qui me semblait difficile compte tenu de l'ampleur du travail que demandait mon livre. Puis, en 2008, Doug a eu l'accord de la Warner pour financer un documentaire qui viendrait s'ajouter au livre, formant l'ensemble le plus complet jamais réalisé sur l'histoire de ce film.» Au programme de leur travail - ainsi que le souligne une bande-annonce alléchante qui circule sur le Net 1 -,du matériel graphique inédit des esquisses, les interviews des participants sur fond de décors originaux, sans oublierles fameuses minutes de leur découverte est de taille car il s'agirait de la toute dernière chance de voir ces plans. Leon Vitali, un des anciens assistants de Kubrick, avait raconté que, quelques mois avant sa mort en mars 1999, Kubrick avait rassemblé des bobines de négatifs qu'il gardait dans sa maison de la banlieue londonienne. Selon Vitali, il y avait Orange mécanique, Barry Lyndon, Shining et des morceaux de 2001. Stanley Kubrick avait lui-même supervisé leur chargement dans un camion pour les conduire dans une usine de traitement de déchets industriels où ils avaient été incinérés. C'est ce qu'il voulait», avait commenté Vitali. Bref, depuis la promesse faite à Toronto, le cœur des fans s'est emballé et chacun a entamé mentalement un compte à rebours le séparant de la découverte du trésor. Une joie de courte durée car la Warner, qui détient les droits, publie cet automne un communiqué sans fioritures. M. Kubrick a fait savoir très clairement que la version raccourcie serait le montage définitif. Le film existe comme il le voulait. Warner Home Video n'a pas prévu de revenir sur la vision de M. Kubrick.»Pour tenter de comprendre le long processus qui a mené à cette situation, mieux vaut revenir à l’origine du problème, au fameux 2 avril 1968, jour de la première mondiale du film à l’Uptown Theater de Washington Ce soir-là, Kubrick, qui vient de terminer le montage de son film, est un peu angoissé. On le serait à moins après un tournage qui a commencé plus de deux ans auparavant, des acrobaties techniques et un budget de 10 millions de dollars [8 millions d’euros] qui rend nerveux pas mal de gens, surtout au studio MGM, financier de l’affaire. Kubricka refusé de montrer le film à la presse car il devait inclure au dernier moment les ultimes effets spéciaux dans une version finale de 161 la projection se passe très mal. Plus de 200 personnes quittent la salle avant la fin. Je n'ai jamais vu un public aussi agité», dira le cinéaste, des années plus tard. Parmi les fuyards, l'acteur Rock Hudson qui lâche à des journalistes Est-ce que quelqu'un peut me dire de quoi ça parle ?» Deux jours plus tard, le film doit être projeté à New York et à Los Angeles avant une sortie publique dans les grandes villes américaines programmée le 10 avril. Mais Kubrick a déjà pris sa décision. Avec le concours du monteur Ray Lovejoy, dont c'était le tout premier boulot on imagine le cadeau, il taille dans le vif, coupe plusieurs séquences et expurge des morceaux de scène en faisant de la dentelle. Ils travaillent jour et nuit entre le 5 et le 9 avril et, dans la mesure où les copies sont déjà parties dans les salles, Kubrick envoie à chaque exploitant les directives méticuleuses pour que les projectionnistes fassent eux-mêmes les coupes. Sans pouvoir vérifier de ses propres yeux si ses ordres sont exécutés à la lettre ni même être sûr que les coupes ont été effectuées. C'est pour Kubrick le psychorigide la plus raffinée des tortures mentales même s'il affiche une certaine sérénité. Je ne crois pas que les versions fassent une si grande différence, avait-il déclaré dans une interview à l'époque. Ceux qui ont aimé le film l'ont aimé quelle que soit sa longueur, et c'est exactement la même chose pour ceux qui l'ont détesté.»Un prologue en noir et blancDe fait, quelques centaines, voire quelques milliers de spectateurs ont pu voir la version longue. Soit les directives de Kubrick n'étaient pas arrivées à temps, soit le patron du cinéma s'en foutait. Ces spectateurs chanceux en ont gardé des souvenirs saisissants. Certains ont évoqué des plans inquiétants dans la séquence du meurtre de Poole par l'ordinateur HAL, d'autres un gros plan d'une pantoufle rouge dans le vaisseau extraterrestre… David Larson est plus précis Il s'agit, pour la majorité des images manquantes, de morceaux de séquences qui figurent déjà dans le film. Par exemple, la scène dans le vaisseau spatial lorsque Heywood Floyd, l'un des astronautes interprété par William Sylvester, a une conversation par visiophone avec sa fille qui est jouée par Vivian Kubrick, la fille de Stanley. Un tronçon de cette scène a été coupé durant lequel Floyd appelle le magasin Macy's pour acheter un galago un petit lémurien qu'il veut offrir à sa fille. Dans la partie coupée, il parle à un opérateur de Macy's et effectue son achat avec une carte de crédit - ce qui, en 1968, était très inhabituel. A ce propos, American Express avait été consultant sur le film et ils avaient développé des prototypes de paiement à distance, ce qui n'existait pas encore, mais rien n'a été utilisé dans le film. Par la suite, une publicité d'American Express montrait la carte de crédit au nom de Heywood Floyd, pour montrer à quel point ils étaient en avance sur leur temps. Cette carte avait d'ailleurs vraiment été imprimée pour le film.»David Larson évoque d'autres séquences, plus intrigantes, aussi supprimées. Un prologue, en noir et blanc, présentant une discussion animée entre scientifiques, religieux et politiques à propos de la possibilité de l'existence d'une intelligence extraterrestre. On peut trouver le script de cette scène dans le livre de Jerome Agel, The Making of Kubrick's 2001 Signet Books, 1970. Une autre scène montre plusieurs personnages déambulant dans la base lunaire Clavius. Il y a Floyd, Halvorsen, joué par Robert Beatty, le docteur Bill Michaels SeanSullivan et d'autres personnes qui sortent d'un ascenseur et qui s'arrêtent devant une classe de peinture avec des enfants. On a dit à plusieurs reprises que deux des petites filles étaient les filles de Kubrick, mais c'est faux. En revanche, la professeure est bien interprétée par Christiane Kubrick, la femme de Stanley.»Désormais, la seule question qui se pose concerne le motif de la Warner qui, après avoir refusé de montrer ces images, a annulé le financement du documentaire de Trumbull et Larson. Une banale question de droits ? Je ne peux pas donner de réponse, je l'ignore», admet Larson, amer, qui n'a pas renoncé à publier le livre définitif» sur 2001.Les droits sont détenus par la Warner qui est la branche distribution de Turner Entertainment qui a racheté l'ensemble du catalogue MGM des films tournés avant 1986. Je sais qu'il existait des problèmes de reversements de droits à propos de la musique originale. Comme vous le savez, les tarifs dans ce secteur ont explosé. D'autre part, nous sommes au milieu d'une récession dans le monde de la vidéo et il est possible que la Warner ait préféré mettre son argent ailleurs. Tout ce que je peux dire, c'est que nous ne faisons plus partie de ses plans à l'heure actuelle. C'est assez triste car, plus le temps passe, plus nous perdons des témoins importants. Rien que l'an dernier, l'artiste Bob McCall et le directeur artistique John Graysmark sont morts.» Le plus étrange dans ce refus de la Warner, c'est qu'on voit mal la firme se priver d'une édition DVD ou Blu-ray lestée d'un matériel inédit qui, à coup sûr, se vendrait comme des petits pains. L'explication pourrait être simple, comme le souligne Larson Les images retrouvées dans ce coffre Warner du Kansas sont muettes. Elles proviennent d'un master YCM Yellow Cyan Magenta que la MGM avait fait tirer après le montage. La bande-son a été effacée dans le processus.» A moins de bidouiller une nouvelle bande-son à partir du matériel existant - ce qui ne serait guère sérieux -, il faut se faire une raison. Et dire adieu à l'espoir de voir un jour la version originelle de 2001. A moins que, dans un autre coffre oublié de la Warner…1
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Au total, on trouve 75 clichés dont certains montrent le désert du Namib où a été tourné la première partie du film. Avancer que Stanley Kubrick était obsessionnel relève aujourd’hui du bon gros cliché. Mais cette volonté de contrôle total s’est rapidement heurtée à une problématique bien plus prosaïque le cinéaste américain avait une peur bleue de l’avion. Alors comment faire pour parcourir le globe à la recherche de nouveaux lieux de tournage ? C’est là qu’entre en piste un certain Andrew Birkin, frère de Jane et assistant de Kubrick. C’est lui qui, appareil photo en main, sautait d’avion en avion pour le réalisateur de 2001 l’Odyssée de l’espace 1968. De ces voyages, Andrew Birkin a accumulé quelques pépites qui étaient jusqu’ici restées dans ses archives personnelles. La société américaine Sotheby’s vient de mettre plus de 75 de ces clichés Polaroid encore jamais vus et des documents de travail dont une correspondance entre Birkin et Kubrick en vente. Elle espère en tirer la modique somme de 65 000 dollars, soit un peu plus de 58 500 euros. >> A LIRE AUSSI NOTRE VIDÉO SUR LES REGARDS CAMERA DANS LE CINÉMA DE KUBRICK Le film de science-fiction de Stanley Kubrick a laissé une trace indélébile dans l’histoire du septième art, et ses décors majestueux n’y sont pas pour rien. On pense notamment au mythique EVA Pod, le module spatial qui servait à réparer la station, dont voici les photographies de la maquette en construction Les photos les plus poétiques sont sûrement celles capturées en janvier 1967 dans le désert du Namib, en Namibie. C’est ici que la première séquence de 2001 L’Aube de l’humanité » a été tournée. On y voit le désert et les montagnes rocheuses mais surtout les ombres de l’équipe de repérage en plein travail, photographiée au crépuscule. Andrew Birkin s’est aussi rendu en Écosse, dans les montagnes du Ben Nervis qui ne sont pas sans rappeler les montagnes enneigées filmées pour Shining, où a été tourné la partie Stargate » dont voici les photos Plus de cinquante ans après, 2001 l’Odyssée de l’espace est toujours d’une modernité que le temps n’a vraisemblablement pas voulu abîmer. Les films dans l’espace fleurissent depuis quinze ans mais ce film reste un point de référence. Tout cinéaste qui a voulu amener son cinéma en orbite cite, à un moment ou un autre, le chef d’œuvre de Kubrick. Des hommages que nous avons compilés dans une vidéo à voir ci-dessous. Image Photographies en vente chez Sotheby’s Cinéma > Affiche de film > Science-fiction > 2001 l'odyssée de l'espace. Agrandir l'image. 2001 l'odyssée de l'espace. État : Nouveau produit. dossier de presse original de 1968. 4 pages. taille : 31x24 cm. réalisateur : Stanley
J'ai Lu, 1978 États-Unis, langue anglaise, traduction langue française. L’apparition d’un monolithe sur la terre, en ce reculé temps préhistorique, semble avoir joué un rôle important sur l’évolution des primates, souche de l’humanité. Mais quel rôle joue-t-il, ce monolithe découvert par les hommes, enfoui sous la cendre lunaire ? C’est le mystère que plante le début de cette odyssée, qui nous mènera aux confins de l’espace et bien au-delà, nous projetant au fin fond de l’univers le plus insondable qui soit nous-mêmes… Voilà un livre pour lequel j’avais une terrible appréhension. Un monument de la SF, pendant littéraire d’un film monumental et culte que je n’ai jamais compris. Certes, j’étais tout jeune quand je l’ai vu. Mais il m’a laissé le souvenir d’un film magnifique, aux images époustouflantes bercées d’une atemporelle, tout ceci formant le terreau fertile sur lequel a poussé une excessive frustration, comparable à celle que l’on ressent lors d’un rendez-vous manqué. Le challenge Morwenna pour lequel j’ai déjà lu et chroniqué Demain les chiens » me donne l’occasion de surmonter cette appréhension, pour en découdre une bonne fois pour toutes avec ces livres qui me pétrifient depuis mon plus jeune âge, tout en me faisant envie. Je ne peux poursuivre plus avant cette chronique sans ajouter la petite anecdote personnelle derrière le livre lui-même. Il fait partie de la collection récupérée de feu mon frangin souvenez-vous. Ce livre a donc une histoire, avec cette particularité d’avoir ses pages légèrement gondolées. En entendant le léger craquement produit par la manipulation de ces dernières, je me suis senti projeté près de trente ans en arrière, ce son me renvoyant l’image de mon frère sortant de la salle de bain, serviette autour de la taille, l’air effaré en regardant son livre trempé. Il aimait lire dans la baignoire. Mais je crois que c’est bien la dernière fois qu’il le fit. Quoi qu'il en soit, l’ouvrage fut séché, sauvé et apprécié par mon frère avant de ne l’être par votre serviteur, quelques décennies plus tard. Revenons donc à nos monolithes noirs ou transparents, c’est selon. En premier lieu, j’ai été frappé de lire le sous-titre sur la couverture d’après un scénario original de Stanley Kubrick et Arthur ». Et bien, quitte à passer pour une andouille, je ne savais pas. Oui, j’ai toujours pensé que le film était une adaptation du livre. Mais en fait, non, c’est une création commune. Ce qui n’a fait qu’accroître mon appréhension… Allais-je prendre plaisir à le lire ? Allais-je comprendre quelque chose ? Ne serai-je pas perdu au bout de quelques pages, au risque de revivre ce rendez-vous manqué, cette frustration suscitée par le film ? Le début me laissa penser le contraire. D’une lisibilité enfantine, le premier chapitre nous conte les événements que l’arrivée d’un monolithe provoque dans la vie d’un groupe de primates, à la façon des contes préhistoriques de Rosny ainé. Ouf, ça commence bien. Puis nous nous retrouvons soudain propulsés dans l’espace, non loin de la Lune, où ce fameux monolithe a été retrouvé enfoui sous la poussière lunaire. Pour embarquer finalement à bord d’Explorateur 1, qui navigue dans l’espace en direction de Saturne et ses anneaux… C’est là que nous abordons une longue phase de descriptions, qui de prime abord avaient refroidi mon ardeur. Et puis je me suis laissé prendre par les envoûtantes images que la plume d’Arthur C. Clarke avait déposées sur les pages du livre. De soudainement blasé et inquiet de voir l’histoire m’échapper, je me suis trouvé totalement emporté dans ce voyage spatial, au point d’avoir du mal à me sortir la tête des étoiles entre deux séances de lecture. Enfin, je me suis vu projeté bien au delà, pour vivre une étonnante métamorphose, celle du héros, mais aussi la mienne. Car lorsque j’ai lu le mot final, captivé par la montée en puissance du dernier chapitre qui explose littéralement en une apothéose terrible, mais magnifique, j'ai ressenti la profonde conviction que 2001, l’Odyssée de l’espace est bel et bien un chef-d’œuvre ! 2001, l'odyssée de l'espace est le premier d'un cycle comportant quatre livres 2010, Odyssée deux; 2061, Odyssée trois et 3001, l'Odyssée finale. Les lirai-je un jour ? Rendez vous en 3001 pour le savoir ! On ne présente plus Arthur C. Clarke, cet auteur mythique de science fiction né en 1917 au Royaume-Uni et décédé au Sri Lanka en 2008. On ne présente plus son œuvre immense, visionnaire, une référence du genre. Je me devais juste, pour le lien avec les montagnes hallucinantes, signaler qu'il est responsable d'un petit pastiche amusant édité à la Clef d'Argent, toujours disponible des "Montagnes Hallucinées" de Lovecraft. Bonus, la couverture de l'édition originale américaine 2001, l'odyssée de l'espace, par Arthur C. Clarke J'ai lu Traduction de Michel Demuth Titre original 2001 a space odyssey Illustration couverture Tibor Csernus 1er trimestre 1978. 310 pages ISBN 2277113492 Cette chronique fait partie du challenge Morwenna's List, instigué par la prophétie des ânes.
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Programme Ciné-concert sur le film de Stanley Kubrick 2001, l’Odyssée de l’espace ». On sait l’importance de la musique et des effets sonores qui structurent la narration de 2001, l’Odyssée de l’espace ». Le temps d’un ciné-concert, accentus accorde ses voix à la science-fiction de Stanley Kubrick et interprète les œuvres du compositeur György Ligeti. Avec Lux Aeterna, le chœur participe au climat d’incertitude et de mystère qui entoure les activités secrètes des humains concernant le monolithe. György Ligeti impose à cette mélodie en canon un décalage irrégulier donnant l’impression d’amalgames sonores qui se font et se défont imperceptiblement. Le Kyrie de son Requiem, oppressant et déstructuré, étage chœurs et instruments dans un tuilage permanent. Ces nappes de musique permettront de faire l’expérience d’un temps pur, sans mesure ni harmonie évidente. Déjà donné à Londres et à New York, ce projet sera présenté pour la première fois en France, dans la nouvelle Grande Salle de la Philharmonie de Paris. L’occasion de redécouvrir ce film culte avec la musique jouée en live. Distribution accentus Orchestre de Paris André de Ridder, direction dates mai 30 20h30 - Paris, Philharmonie 1 mai 31 16h30 - Paris, Philharmonie 1
Affichefrançaise originale du film "2001 : L'Odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick, sorti en 1968, oscar des meilleurs effets spéciaux 1969. La librairie Elbé sera fermée cet été du 29 juillet au soir au 25 août 2022 au matin.
L’alignement mystérieux de la lune, du soleil et du monolithe noir au début du film 2001 l’Odyssée de l’espace 1968. En 1957, le critique de cinéma anglais Alexander Walker demanda à Stanley Kubrick, qui venait de recevoir un paquet de films de science-fiction japonais à visionner Vous allez faire un film de space-opera ? » Le cinéaste lui lança un regard noir et soupçonneux et lui répondit Je vous en prie ! Faites très attention à ce que vous écrivez ! » Piers Bizony, 2001, le futur selon Kubrick, édition Cahiers du Cinéma, 2000, Onze ans plus tard, public et critiques déroutés et/ou émerveillés découvrirent 2001 l’Odyssée de l’espace 1968, chef-œuvre de Kubrick, de la science-fiction et du cinéma. Cette anecdote résume bien les nombreuses difficultés rencontrées par le cinéma de science-fiction afin d’être reconnu par les critiques, grâce au film de Kubrick, comme un genre majeur et, chose extraordinaire, adulte. Le désir du cinéaste de proposer une vision du futur vraisemblable est patent, mais était-ce son seul but? Film lent, déroutant, 2001 l’Odyssée de l’espace ne se contente pas d’être une représentation précise d’un futur de l’humain dans l’espace ou l’expression cinématographique la plus belle de la culture trip » de son temps, mais vise à emporter le spectateur dans un voyage spirituel grâce à une véritable liturgie audiovisuelle… Derrière les apparences de documentaire sur le futur » du film qui devait s’ouvrir et se clôturer par des entretiens avec des scientifiques, la science-fiction a offert à Stanley Kubrick ce qu’il recherchait plus que tout des métaphores, pour un nouveau mythe. La science-fiction comme récit de l’évolution humaine Stanley Kubrick déclarait en 1968 Si 2001 provoque en vous des émotions, s’il stimule votre inconscient, vos penchants pour la mythologie, il aura atteint son but. » ibid, p. 22 2001 l’Odyssée de l’espace fut loin d’être sans descendance, car les meilleurs films de science-fiction ont créé une véritable mythologie des temps modernes, ancrée à la fois dans le passé, le présent et le futur. Ces nouveaux mythes composent culture populaire de masse, réactualisant les mythes anciens et conservant la valeur universelle de ces derniers à travers leur recherche de l’Origine. L’ancêtre de l’homme invente l’arme, au début de 2001 l’Odyssée de l’espace. En effet, 2001 l’Odyssée de l’espace témoigne d’une volonté incroyable de créer une mythologie universelle et de réinventer nos origines, qui a fortement dérouté ses premiers spectateurs et qui continue de surprendre aujourd’hui. Piers Bizony raconte ses premières impressions, lorsqu’il vit le film à sa sortie, à l’âge de neuf ans Le film commençait bien un lever de soleil dans l’espace, et une musique très forte, très excitante. Dix minute plus tard je commençai à m’ennuyer. J’étais déçu. Je me disais que les séquences d’ouverture avec les singes devaient provenir d’un autre film, et que le projectionniste s’était trompé de bobines. » ibid., Le petit Piers Bizony ne fut pas le seul à penser cela le soir de la première devant le Tout-Hollywood, deux-cent quarante personnes dit-on quittèrent la salle… En effet, quoi de plus déroutant et paradoxal qu’un film de science-fiction dont l’action débute il y a quatre millions d’années? Pourtant, quoi de plus logique pour un artiste souhaitant remonter aux origines de l’humanité et des mythes? Car avec 2001 l’Odyssée de l’espace, Stanley Kubrick ne s’est pas contenté de réaliser le film de space opera de référence » selon ses propre termes et de révolutionner le langage cinématographique, il est parvenu à raconter l’origine et l’évolution de l’espèce humaine, depuis les australopithèques jusqu’aux vaisseaux spatiaux. Du désert africain jusqu’à Jupiter et au-delà de l’Infini » carton du film. Du pré-humain au surhomme. L’enfant des étoiles de 2001 l’Odyssée de l’espace. Cette évolution est scandée dans 2001 l’Odyssée de l’espace par l’apparition de solennels monolithes noirs, obscurs signes d’une intelligence extraterrestre supérieure divine ?. En effet c’est cette dernière qui a inspiré aux pré-humains l’utilisation des os comme armes. Ceux-ci ont permis aux hommes-singes de chasser, terrasser leurs ennemis, conquérir le monde et devenir hommes. Puis le fameux raccord bondissant substitue l’os gourdin par un vaisseau spatial thermonucléaire. Un geste, un os jeté en l’air après le premier meurtre, et voilà l’humanité et sa science triomphante en route vers les étoiles. La plus belle ellipse du cinéma le progrès, et la plus effrayante le meurtre. L’humanité et son évolution sont ainsi représenté en un seul mouvement, et un seul chapitre. En effet le découpage du film 2001 l’Odyssée de l’espace réunit le prologue préhistorique et les séquences situées en 2001 jusqu’à la découverte du deuxième monolithe en un même chapitre l’aube de l’humanité ». Ainsi, ce n’est pas parce que l’être humain a colonisé la lune qu’il est devenu homme. Il est une espèce en perpétuel devenir son futur étincelant est déjà du passé. Ordres et désordres de 2001, l’odyssée de l’espace Dans 2001 l’Odyssée de l’espace, Stanley Kubrick orchestre deux mouvements contraires d’un côté le contrôle absolu, de l’autre le surgissement de l’imprévu. Autrement dit, le cinéaste met en scène les tentatives de l’être humain de maîtriser ce qu’il croit à tort pouvoir posséder les astres, l’espace interplanétaire, la psyché d’une intelligence artificielle. C’est le conflit qui est au cœur de l’œuvre même de Stanley Kubrick souvenons-nous de Barry Lyndon avec ses peintures reconstituées quasi figées dans leur perfection, qui brusquement s’effondrent par l’irruption de la caméra portée lors de combats au corps à corps. La séquence du concert, où Barry frappe son beau-fils Lord Bullingdon est comme un éclair qui soudain jailli avec toute sa violence, et s’abat sur ces demeures bien ordonnées. Michel Ciment cite dans son ouvrage célèbre sur Kubrick cette phrase très appropriée de Paul Valéry “Deux dangers menacent le monde l’ordre et le désordre.” L’ordre et le désordre, le prévu et l’imprévu, la forme définie et l’infini, sont figurés visuellement dans le film 2001 l’Odyssée de l’espace. Le film affirme en effet, jusqu’à la plongée au cœur du monolithe, la délimitation rigide des choses par la fixité et le design clair des vaisseaux spatiaux. Pas de zones d’ombres incertaines, mais au contraire une blancheur éblouissante qui contraste avec le noir silencieux du vide interplanétaire. Discussion dans la station orbitale de 2001 l’Odyssée de l’espace. C’est là le lieu du danger, car le noir absolu est le territoire de l’absence de formes et de repères. Il deviendra le lieu de la mort, à travers le cadavre de Poole que Dave n’a d’autre choix que de laisser dériver dans le vide. Mais l’incertitude des formes était déjà présente à travers reflets et projections sur les casques des astronautes ; sur l’œil rouge de l’ordinateur Hal 9000 où se reflètent les corps déformés des astronautes promis à la mort ; et enfin par la déformation du regard-caméra de l’ordinateur qui rend si insignifiants ceux qui sont censés détenir le contrôle de la mission. Déjà morts. Dave Bowman Keir Duella vu par Hal 9000. Que deviendra le visage humain lorsqu’il sera confronté aux images d’un cosmos dont il n’est qu’un infime composant? Il se réduira de plus en plus à des déformations instantanées lors de la plongée dans le monolithe à la fin de 2001 l’odyssée de l’espace. Les procédés cinématographiques s’affichent clairement dans cette séquence à travers les différents paysages survolés et les gros plans de l’œil de Dave dont ne subsiste plus à chaque fois que deux couleurs saturées. Les formes ne sont plus définies, se métamorphoses par l’effet de ce traitement. L’incertitude éclate au grand jour, tout repères spatiaux et temporels abolis. L’œil ouvert sur le cosmos infini dans la “séquence-trip” de 2001 l’Odyssée de l’espace. Le monolithe, projection de notre absence Le brouillage progressive des formes de 2001 l’Odyssée de l’espace et l’émergence de l’incertitude qui l’accompagne trouveront leur accomplissement dans la plongée dans le monolithe à la fin du film, puis dans la séquence finale de la chambre d’hôtel. Dans cette dernière, si impertinente, Dave devient à la fois sujet et objet de ses projections, jusqu’à sa mort face au monolithe-écran, source et absorption finale de toute projection. En effet, le monolithe de 2001 l’Odyssée de l’espace est semblable à une plaque photographique, surface obscure réagissant à la lumière du soleil et sur laquelle s’impriment nos fantasmes, sans apparaître toutefois. Le monolithe peut aussi être interprété comme un écran de cinéma inversé, noir, dont les proportions évoquent celles du Cinerama utilisé par Kubrick, mais disposé verticalement. Il faut noter à ce propos que le monolithe est à chacune de ses apparitions une surface impossible à franchir dans sa position verticale, malgré son apparence de porte sur un autre monde, et ceci ne sera possible uniquement lorsqu’il sera en orbite autour de Jupiter, disposé horizontalement. La largeur de l’écran du film se confond avec celle du monolithe lors de la séquence où Dave pénètre à l’intérieur et traverse l’univers tout entier, de l’infiniment grand à l’infiniment petit. Le temps linéaire y est abolit au profit d’un temps cinématographique fragmenté, et d’un œil qui devient lui aussi celui du cinéma. Dave Bowman Keir Duella dans la chambre d’hôtel, à la fin de 2001 l’Odyssée de l’espace. La répétition du temps est représentée par les saccades du montage, et sa fuite par sa compression dans la séquence finale de 2001 l’Odyssée de l’espace qui montre une temporalité à la fois saccadée et compressée » pour reprendre les mots de Philippe Fraisse. Dans cette scène, l’astronaute Dave Bowman ayant pénétré avec son vaisseau spatial dans le mystérieux monolithe noir se retrouve, après un voyage de part et d’autres de l’univers, dans une chambre meublé dans un style Louis XVI où il se voit y vivre et vieillir. Entrevoir est un terme plus juste, car chaque raccord regard transmute le personnage en son autre lui-même vieilli qui était l’objet de son regard. Dave Bowman Keir Dullea prématurément vieilli à la fin de 2001, l’Odyssée de l’espace. L’existence se réduit à une poignée de minutes le temps linéaire, continu, est supplanté par le temps cinématographique qui coupe, raccorde, modifie la chronologie. Dave se voit ainsi allongé dans son lit, mourant, comme Manfred du roman de Philip K. Dick Glissement de temps sur Mars 1963 qui se voit dépérir et mourir dans l’hospice, où règne la Rongeasse », le temps comme pourrissement. Le cinéma est ainsi devenu la métaphore d’une réalité comme illusion de continuité le temps que l’on croit linéaire et continu est fait de trous, de répétitions, d’alternatives, d’éléments discontinus. Le temps est composé de faux-raccords, comme Dave Bowman le découvre à la fin de 2001 l’Odyssée de l’espace. Le franchissement du seuil à travers la plongée à l’intérieur du monolithe puis la mort et la transformation de Dave en fœtus astral, est possible parce que la chambre des désirs kubrickienne est vide de toute présence » écrit Philippe Fraisse. Le critique ajoute J’ai toujours vu 2001 comme l’histoire d’une humanité qui entre en contact avec un mécanisme très ancien, dont les inventeurs ont depuis longtemps disparu. » Nous connaissons ce mécanisme c’est le cinéma. Dernière apparition du monolithe, dans la chambre d’hôtel de la fin de 2001 l’Odyssée de l’espace. Un film-rituel pour une conquête impossible 2001 l’odyssée de l’espace est un des rares films cultes » qui justifie pleinement l’usage de cette expression faire l’expérience de ce film, c’est tenter d’être en communion avec l’univers et la caméra qui le saisit par la grâce des effets spéciaux de l’époque. C’est un rituel, oui, une expérience non-verbale », selon l’expression de Stanley Kubrick, un rituel nécessaire en son époque où l’homme s’apprêtait à marcher sur la Lune et à peut-être aller au-delà il s’agit ni plus ni moins d’une quête d’images impossibles, qui porte le rêve de voir ce que nul être humain ne peut contempler. Le film est imprégné de cette sorte d’aura que dégagent encore aujourd’hui les premières images de l’univers, il témoigne d’une foi profonde en la place de l’homme dans cet univers infini, mais aussi, de manière indissociable, des pouvoirs du cinéma. Lorsque Stanley Kubrick réalisa 2001 l’Odyssée de l’espace, le cinéaste fut confronté à deux problèmes d’une part, rompre avec l’imagerie des films de science-fiction réalisés précédemment, et d’autre part affronter l’inimaginable, c’est-à-dire ces images de l’espace lointain que des sondes automatiques et quelques hommes rapportaient pour la première fois. Je crois qu’il est difficile de ne pas demeurer mélancolique après la vision de 2001 l’Odyssée de l’espace, tant la beauté des espaces infinis que nous ne pourrons jamais arpenter reste gravée dans la rétine. Face aux plans des astres du film de Stanley Kubrick, réalisé dix ans avant que la première sonde ne transmette les premières images de Jupiter, il me semble clair que l’homme contemple à la fois la beauté de l’univers et la capacité de l’homme à parvenir à voir jusqu’aux confins de l’espace et du temps grâce à la technologie. Il n’y a pas d’hommes derrière l’objectif, mais Hubble, le satellite-télescope en orbite autour de la Terre qui remonte le temps par sa captation de la lumière des premiers temps. Il en est de même pour les images elles-mêmes, dont les couleurs souvent ne sont pas celles des objets observés eux-mêmes, au sens de la lumière et des couleurs que l’homme peut percevoir, mais selon un spectre bien plus vaste, ou par une combinaison de différentes captations, ou encore par une colorisation artificielle selon un code précis. Il nous semble qu’il y a alors mêlé à la fascination une frustration profonde celle de ne pas pouvoir voir par soi-même. Plus que jamais peut-être, la science par ses images nous confronte à l’illusion, et à l’absence. Qui survivra à l’humanité, au fin fond de l’espace interstellaire? Les sondes Voyager 1 et 2 et leurs yeux mécaniques qui seront alors éteints, mais qui auront vu ce que nul aujourd’hui n’a pu contempler de ses propres yeux… Il y a en moi après 2001 l’odyssée de l’espace l’absence terrible de ces étoiles à peine entrevues dans le télescope où, enfant, j’avais jeté un coup d’œil, ce soleil qui m’avait sidéré. Une transition bénéfique? 2001 l’Odyssée de l’espace est non le récit de l’odyssée d’un homme mais de celle de l’espèce humaine. Cette vision progressiste et évolutionniste n’est néanmoins pas dépourvue de pessimisme car si l’homme veut devenir Dieu et être fait de la même matière que ses créateurs, il doit utiliser la violence l’os gourdin, abandonner tout passé et mourir. Guidé par un être supérieur malgré lui, manipulé, il est condamné à évoluer, sans échappatoire possible. Car la chambre d’hôtel au mobilier Louis XVI tape-à-l’œil dans laquelle Dave Bowman finit sa vie, étrange refuge hors du temps, n’est qu’une construction de son esprit. Tout retour nostalgique dans le passé est illusoire. Certes Dave Bowman meurt puis retourne à l’état de fœtus, mais ce n’est pas là une régression, dans la mesure où il devient un Enfant des Étoiles », selon le terme employé dans le roman éponyme d’Arthur C. Clarke et Stanley Kubrick écrit simultanément. Dave Bowman a quitté la Terre homme, il la revoit surhomme. Le retour est synonyme d’évolution, de renouveau, et non de fixation hors de l’espace et du temps. Derrière l’optimisme positiviste de façade de 2001 l’Odyssée de l’espace, derrière le regard de l’Enfant des Étoiles », se cache toutefois de la souffrance celle d’un homme condamné par le Temps à devenir surhomme. Stanley Kubrick est ainsi parvenu à élever le film de science-fiction au rang de nouveau mythe par la ré-interprétation qu’il propose de l’origine de l’humanité, de son évolution, de son devenir. Par sa seule écriture cinématographique, la mythologie a trouvé son nouveau médium le cinéma de science-fiction. Version revue et corrigée d’articles parus le 8 mai et le 21 septembre 2009 sur le blog de l’auteur, puis sur Éclats Futurs et Ouvre les Yeux. Cet article sur le film 2001 l’Odyssée de l’espace fait partie d’un dossier consacré aux rapports entre réalité de la conquête de l’espace et imaginaire.
Afficheexclusive sous licence officielle Création originale de Matthew Woodson inspirée du film 2001 : L'Odyssée de l'Espace réalisé par Stanley Kubrick Impression en sérigraphie Format 45,7 x 91,5 cm Edition limitée à 325 exemplaires Quelques exemplaires disponibles chez PLAKAT Numérotée à la main
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2001L'ODYSSEE DE L'ESPACE. Sortie le 27 septembre 1968. Science Fiction (2h28) De Stanley Kubrick. Avec Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester, Douglas Rain, Leonard Rossiter. Synopsis. Célèbre oeuvre de Stanley Kubrick, qui s'interroge dès 1968 sur le destin de l'Homme, son rôle dans le Cosmos et sa relation à des formes de vie

Et si nous n’étions pas les seuls dans l’univers ? Et si une espèce était encore plus évoluée que nous ? Mais quel est donc cet étrange et imposant monolithe noir tombé du ciel qui a atterri sur la Lune juste à côté d’australopithèques ? En 1999, le Docteur Heywood Floyd, un scientifique américain, est amené à se rendre sur la Lune pour étudier et enquêter sur l’étrange monolithe noir récemment déterré du sol lunaire. Celui-ci émet de mystérieuses ondes vers Jupiter. En 2001, 5 astronautes décollent pour une mission de la plus haute importance vers cette dernière. Accompagné par une intelligence artificielle, l’ordinateur de bord Carl, ils vont essayer de mener leur mystérieuse mission à bien. A leurs risques et périls… A travers le film 2001, l’odyssée de l’espace » réalisé en 1968, Stanley Kubrick nous transporte dans un monde futuriste aux décors et à la musique impressionnante. Les magnifiques effets spéciaux sont très révolutionnaires pour l’époque, ce qui rend maintenant ce film culte. D’abord, ce film est révolutionnaire. En effet, les effets spéciaux, les décors, les graphismes et la manière dont sont tournéés les scènes sont époustouflantes pour l’époque. A la sortie dans les salles de cinéma, 2001, L’odyssée de l’espace » fut le plus gros succès du box-office. Les personnes se sont pressées pour pouvoir admirer les prouesses cinématographiques de ce film. Ensuite, ce film nous fait énormément réfléchir. Notamment par la supposition d’un être supérieur aux Hommes extraterrestre mais aucune apparition dans le film nous les montre. Pourtant nous devinons leur présence et leur supériorité intellectuelle sans jamais les apercevoir. Comment sont-ils ? Combien sont-ils ? Autant de questions que le réalisateur laisse sans réponse. La narration habituelle par une voix off n’est pas présente dans ce film, elle a été remplacée par de la musique. Il y a également peu de dialogue, le réalisateur laisse libre court à notre imagination en nous laissant quelques indices pour nous diriger vers la une réponse. La fin du film est un peu confuse mais nous laisse comprendre ce que voulons et elle nous laisse également inventer la suite de l’histoire. Enfin, et surtout, ce film nous montre un Homme incompétent face à l’intelligence artificielle des machines. En effet, Stanley Kubrick avait déjà compris, à l’époque, que l’Homme serait dépendant des machines. Notamment en laissant Carl, l’ordinateur de bord, contrôler entièrement le vaisseau et, de ce fait, les astronautes. Il avait déjà compris la dépendance des Hommes face aux technologies. Malgré certains passages un peu long, 2001, l’odyssée de l’espace » est et restera un film culte que nous devrions tous avoir vu pour ses décors, ses effets spéciaux et ses musiques impressionnantes. Un film culte à voir et à revoir sans modération ! Clémence T. – TBMAH 2016-17 16/20
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Découvrezcette affiche du film 2001 : l'odyssée de l'espace réalisé par Stanley Kubrick. Photo 16 du film 2001 : l'odyssée de l'espace sur 56 photos disponibles sur AlloCiné
Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisUn documentaire halluciné2001 l'Odyssée de l'espace s'ouvre sur un écran noir, tendu par le seul mouvement sonore Atmosphères 1961 de György Ligeti. Les premières images du prologue intitulé L'aube de l'humanité » arrivent ensuite, soutenues cette fois par le poème symphonique de Richard Strauss Ainsi parlait Zarathoustra. Il nous montre une tribu de singes herbivores et affamés. L'un d'eux, après l'apparition d'un étrange monolithe noir érigé, a l'idée » de se servir d'un os de tapir pour frapper et détruire, inventant à la fois l'outil et l'arme. Peu après, les singes sont passés au régime carnivore, et le clan détenteur de l'arme détient l'ascendant sur un clan ennemi. Le film nous transporte alors, sans prévenir, dans le futur nous voyons une fusée, une station tournant autour de la Lune, et une navette qu'Heywood Floyd emprunte pour se rendre dans une base habitée par les hommes. Là, nous apprenons qu'un monolithe du même type que celui que nous avons vu quatre millions d'années plus tôt a été exhumé sur la Lune, où il avait été délibérément enterré ».De nouveau sans transition, nous voici en route pour Jupiter, sur le vaisseau spatial Discovery, dont les activités sont contrôlées par un ordinateur, Hal, qui parle, entend, éprouve des émotions. À son bord, Dave et Frank, tandis que trois autres astronautes hibernent. Hal montrant des dysfonctionnements », Dave et Frank envisagent de le déconnecter, mais l'ordinateur est, malgré leurs précautions, informé de leur décision. Il tue Frank et les trois hibernants. Seul survivant, Dave parvient à déconnecter le cerveau électronique de Hal. Mais voici que réapparaît le monolithe, aux abords de Jupiter. Dave, passif, est emmené dans un fantastique voyage de sons et de lumières, pour arriver... dans une chambre d'hôtel de style Louis XVI, milieu visiblement artificiel, où il est nourri et logé jusqu'au terme de sa vie, sans rencontrer qui que ce soit. Avant de mourir vieilli et ridé, il voit au pied de son lit l'énigmatique monolithe, puis à sa place brille un fœtus lumineux que nous retrouvons ensuite dans l'espace, d'une dimension colossale, faisant face à la 2 3 4 5 …pour nos abonnés, l’article se compose de 3 pagesÉcrit par écrivain, compositeur, réalisateur, maître de conférences émérite à l'université de Paris-IIIClassificationArtsCinémaGenres cinématographiquesFilms de science-fictionArtsCinémaCinématographies nationalesCinéma américainAutres références 2001, L'ODYSSÉE DE L'ESPACE, Stanley Kubrick » est également traité dans 2001, L'ODYSSÉE DE L'ESPACE S. KubrickÉcrit par Joël MAGNY • 218 mots • 1 médiaLe cinéma de science-fiction a beaucoup perdu de sa vigueur et de sa vitalité, lorsque Stanley Kubrick 1928-1999 se lance dans l'aventure de 2001 a Space Odyssey, dont le succès va redonner au genre une nouvelle vie pour plusieurs décennies. Selon Jacques Goimard, il s'agit du […] Lire la suiteMUSIQUE ET CINÉMA, LE MARIAGE DU SIÈCLE ? expositionÉcrit par Christian VIVIANI • 1 093 mots • 2 médias Dans le chapitre Bernard Herrmann, Michel Legrand, Nino Rota... » […] Le visiteur baigne d’emblée dans la musique, tandis qu’une disposition technique astucieuse et intelligente évite la cacophonie ou la bousculade on regarde les notes écrites, les extraits de films, les portraits, les génériques évocateurs et, quand un lieu d’écoute se libère, on s’y installe ; rien que pour soi, les compositeurs de musique de films y murmurent des confidences, se laissent surpr […] Lire la suitePARLANT CINÉMA - repères chronologiquesÉcrit par Michel CHION • 3 247 mots 1899 États-Unis. Th e Astor Tramp , picture song » de Thomas Edison. Bande filmée destinée à être accompagnée d'une chanson chantée en salle derrière l'écran par des artistes invités. 1900 France. Présentation par Clément Maurice du Phono-Cinéma-Théâtre à l’'Exposition universelle. Au programme, une scène d' Ham l et interprétée par Sarah Bernhardt, une autre de Cyrano de Bergerac avec C […] Lire la suiteVoir aussiMUSIQUE DE CINÉMARecevez les offres exclusives Universalis
Affichedu film «2001 : l'odyssée de l'espace» Vous aimez cette affiche, nous vous suggérons : Les longs séjours en apesanteur ou microgravité affectent le corps humain. Une gravité artificielle serait une solution mais sa mise en pratique était bloquée par un verrou qui semble avoir cédé pour la première fois, ouvrant la porte aux scènes de 2001, l'odyssée de l' vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Voyage vers Mars l'Homme y survivrait-il ? Un vol habité vers Mars comporte évidemment des enjeux techniques, mais aussi des enjeux sociaux et psychologiques auxquels on ne pense pas forcément au premier abord. Futura-Sciences a interviewé Charles Frankel, planétologue, pour qu’il nous parle des relations entre astronautes durant un vol habité de ce type. Dans les films de science-fiction, tels que Star Wars ou Star Trek, l'absence de gravitation ne semble jamais exister pour les héros qui se déplacent dans les vaisseaux spatiaux comme s'ils vivaient sur Terre. Les accélérations que doivent accompagner des sauts dans l'hyperespace ou le passage à des vitesses transluminiques ne semblent pas les affecter non plus alors que l'on sait bien que des pilotes de combat encaissants trop de g », comme on dit, vont par exemple s' ces films supposent donc que l'on peut contrôler à volonté la gravité pour reproduire celle existant sur notre planète, ou contrecarrer les effets des accélérations. Inversement, dans bien des films de SF, on voit clairement à l'œuvre des dispositifs supprimant la gravité, des générateurs d'antigravité donc. Cela reste de la pure science-fiction et l'existence même de générateurs de gravité ou d'antigravité semble bien peu plausible à ce jour même si le Cern s'est lancé dans plusieurs expériences pour mettre en évidence des effets d’antigravité avec l’ fameuse scène de gravité artificielle de 2001. © VirtualVisitor999Par contre, dans des films de science-fiction durs », comme 2001, l’odyssée de l’espace ou Interstellar, une forme de gravité artificielle est montrée qui est tout à fait crédible. On la voit aussi dans les études faites au début des années 1970 imaginant des colonies spatiales gigantesques à la fin du XXIe siècle, situées aux fameux points de Lagrange. L'un des plus célèbres projets est celui du Tore de Stanford. L'idée est toujours la même, un référentiel en rotation produisant des forces centrifuges qui, du fait du fameux principe d'équivalence d'Einstein, sont indiscernables localement de l'effet d'accélération produit par les forces de gravité. Il y a ainsi une fameuse scène dans 2001, l'odyssée de l'espace où l'un des astronautes, Frank Poole, court dans une centrifugeuse à bord du vaisseau Discovery One en route pour Jupiter. Une autre montre le professeur Floyd prêt à entrer dans une cabine en rotation qui est un gravité artificielle contre l'atrophie musculaireEn fait, générer de la gravité artificielle de cette façon pour reproduire la pesanteur terrestre n'a pas qu'un intérêt pratique mais aussi médical. Comme l'ont montré les longs séjours en orbite des cosmonautes, astronautes et autres spationautes, la structure osseuse et la masse musculaire sont altérées par ces longs séjours, de sorte que le corps se fragilise, ce qui est a fortiori un problème lors du retour sur Terre. Des exercices physiques sont bien pratiqués mais ils ne résolvent pas complètement les problèmes, problèmes dont on se passerait bien pour les premières missions n'a-t-on déjà pas mis en pratique l'idée de mettre les stations spatiales ou les vaisseaux au long court dans le Système solaire en rotation ? Tout simplement parce que la rotation conduit à un phénomène désagréable lorsque la tête est en mouvement. Les capteurs de l'oreille interne transmettent au cerveau une information qui lui fait croire, et donne la sensation, que la personne est en train de chuter ! Ce problème avait découragé les ingénieurs durant des présentation des travaux des chercheurs de Boulder sur la gravité artificielle. Pour obtenir une traduction en français assez fidèle, cliquez sur le rectangle blanc en bas à droite. Les sous-titres en anglais devraient alors apparaître. Cliquez ensuite sur l'écrou à droite du rectangle, puis sur Sous-titres » et enfin sur Traduire automatiquement ». Choisissez Français ». © University of Colorado BoulderMais voilà qu'une équipe de l'Université de Boulder, menée par l'ingénieur en aérospatiale Torin Clark, vient de faire savoir via un article publié dans Journal of Vestibular Research qu'elle avait une solution, au moins pour les voyages à destination de Mars en particulier. Dans ce cas, on est obligé de ne pas avoir des structures très grandes pour produire de la gravité artificielle car on ne peut lancer de grandes structures à prix raisonnables vers Mars, ce qui veut dire que la vitesse de rotation doit être importante la force centrifuge sur un élément d'une roue en rotation est proportionnelle au rayon de cette roue par le carré de la vitesse de rotation, on peut donc jouer sur ces deux variables pour un résultat identique. On pourrait donc limiter les effets de l'apesanteur en effectuant des séances quotidiennes de quelques heures tout au plus dans une sorte de cabine en rotation effectuant une quinzaine de tours par que les chercheurs ont découvert, c'est qu'un entraînement graduel, en une dizaine de séances partant d'un tour par minute pour atteindre ensuite la vitesse de rotation désirée par étape, permettait visiblement au cerveau de s'habituer. Chaque étape doit simplement correspondre à une durée suffisante pour qu'au bout d'un incrément de vitesse, la sensation de vertige et de chute cesse. On peut ainsi atteindre sans problème les 17 tours par minute, ce qui est bien supérieur à ce que l'on imaginait être les limites du supportable indique que ce n'est pas la limite ultime mais il reste à vérifier que l'effet de l'entraînement est durable et à définir quelle serait la limite basse de l'effet de pesanteur artificielle suffisante pour contrecarrer les problèmes produits par l'apesanteur sur une longue qu'il faut retenirDe longs voyages dans le Système solaire, en direction de Mars par exemple, ou de longs séjours dans des colonies spatiales doivent tenir compte des effets de l'apesanteur sur le corps humain. Ils fragilisent le squelette et provoquent une atrophie contre ce problème a été envisagé, il y a longtemps, en mettant en rotation les artefacts habités pour générer une gravité artificielle comparable à celle de la le développement de cette idée avait rencontré un obstacle des effets indésirables sur l'oreille interne des habitants de ces stratégie d'adaptation progressive semble possible aujourd'hui, ouvrant la porte aux scènes de 2001, l'odyssée de l' par ce que vous venez de lire ? Achetezun poster ou un tableau de « 2001, l'Odyssée de l'espace » d'Everett Collection chez Posterlounge : Grande variété de matériaux et tailles Encadrement en option. Tableaux . Les plus plébiscités . Affiches et posters

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2001 l'Odyssée de l'espace retrace, à travers différentes époques, le rôle joué par une intelligence inconnue dans l'évolution de l'humanité. L'aube de l'humanité. À la merci des prédateurs, chassée de son point d'eau par un groupe rival, une tribu d'australopithèques est sur le point de disparaître.
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Agrandir l'image Référence HM001 État Neuf Belle plaque vieillie sur le thème du cinéma avec une illustration du film 2001 L'Odyssée de l'Espace » de Stanley Kubrick. Un article mural volontairement vieilli pour un effet rétro que l'on apprécie temps. ▼ Plus d'informations en bas de page ▼ Plus de détails En stock Envoyer à un ami Imprimer En savoir plus Stanley Kubrick a réalisé de nombreux films dont la plupart sont considérés comme des chefs d'œuvres du 7ème Art. Ici, c'est le huitième long-métrage du réalisateur, 2001, l'Odyssée de l'espace 2001 A Space Odyssey » sorti en 1968 qui est à l'honneur à travers cette plaque qualitative et originale. On peut y voir un astronaute en combinaison orange au milieu du vaisseau Discovery One. Un article mural de 20 cm par 30 cm à l'aspect vieilli pour un effet rétro intemporel. La plaque est pré-percée de quatre trous pour une installation plus facile et est livrée avec deux adhésifs double-face. Pour information, cette plaque comme la plupart de nos plaques est conçue avec des encres écologiques et sans formaldéhyde. Avis 30 autres produits dans la même catégorie Plaque... 7,42 € Plaque We... 9,90 € Horloge... 9,99 € Porte... 7,01 € Calendrier... 9,93 € Plaque... 11,25 € Porte... 9,99 € Calendrier... 7,01 € Toile... 14,04 € Trio Toiles... 36,11 € Toile... 12,54 € Horloge Rêve 13,03 € Plaque de... 6,99 € Plaque... 6,99 € Grande... 11,59 € Plaque avec... 7,20 € Plaque de... 4,90 € Tableau... 9,99 € Horloge... 14,99 € Horloge... 21,99 € Plaque... 14,95 € Plaque... 14,95 € Patère... 7,99 € Calendrier-... 10,99 € Ensemble... 3,90 € Plaque... 21,98 € Pendule à... 17,56 € Pendule... 19,04 € Plaque La... 7,99 € Toile Beer... 9,98 € Vousregardez : 2001 ODYSSÉE DE L’ESPACE – Affiche de cinéma originale ressortie – 40X60 18,00 € Ajouter au panier Ceci n'est pas encore une boutique en ligne mais un catalogue produits — pour passer commande, nous vous prions d'adresser un mail à l'adresse suivante: antreducinema@ de nous contacter via notre Facebook Ignorer

Stanley Kubrik, 2001 A Space Odyssey Music from Motion Picture - Watertower Music Stanley Kubrik, 2001 A Space Odyssey Music from Motion Picture - Watertower Music Résumé 2001 L'Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick sort dans les salles en avril 1968, et rencontre rapidement un succès mondial. En plus d'apporter au genre de la science-fiction ses lettres de noblesse, le film transforme des grandes œuvres de musique classique en tubes planétaires... En savoir plus Le film s'ouvre sur un lever de soleil, et sur l'introduction du poème symphonique Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss, dans la version d'Herbert von Karajan que Stanley Kubrick avait découverte peu de temps auparavant. On y entend aussi la célèbre valse de Johann Strauss Le Beau danube bleu, qui accompagne à l'écran le trajet du Dr Floyd jusqu'à la station orbitale. Kubrick choisit enfin des extraits de plusieurs œuvres du compositeur hongrois György Ligeti Requiem, Lux Aeterna et Atmosphères notamment. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. Sous la pression des producteurs de la MGM qui souhaitent que le film ait sa musique originale, le réalisateur a pourtant fait appel au compositeur Alex North, à qui il demande d’imaginer une composition inspirée des œuvres citées plus haut. Celle-ci sera enregistrée dans la foulée, mais Kubrick décide finalement de ne pas l'utiliser... L'émission du jour Références Programmation musicale 15h56 Die schöne Müllerin op 25 D 795 16. Die liebe Farbe Franz Schubert Compositeur Die schöne Müllerin op 25 D 795 16. Die liebe Farbe Brigitte Fassbaender Mezzo-soprano, Aribert Reimann Piano Album The Brigitte Fassbaender Edition / CD 1 2019 Label DGG DEUTSCHE GRAMMOPHON 002894836914 16h01 2001 l'odyssée de l'espace Also sprach Zarathustra op 30 TrV 176 Richard Strauss Compositeur 2001 l'odyssée de l'espace Also sprach Zarathustra op 30 TrV 176 Karl Boehm Chef d'orchestre, Orchestre Philharmonique de Berlin Album Bof 2001 l'odyssée de l'espace 1968 Label CBS CDCBS 70275 16h03 2001 l'odyssée de l'espace Gayaneh Adagio Aram Khatchaturian Compositeur 2001 l'odyssée de l'espace Gayaneh Adagio Guennadi Rojdestvenski Chef d'orchestre, Orchestre Philharmonique De Leningrad Album Bof 2001 l'odyssée de l'espace 1968 Label CBS CDCBS 70275 16h10 2001 l'odyssée de l'espace Requiem Kyrie - pour 2 choeurs mixtes et orchestre Gyorgy Ligeti Compositeur 2001 l'odyssée de l'espace Requiem Kyrie - pour 2 choeurs mixtes et orchestre Francis Travis Chef d'orchestre, Orchestre Symphonique De La Radio Bavaroise Album Bof 2001 l'odyssée de l'espace 1968 Label CBS CDCBS 70275 L'équipe Lionel Esparza Flora arrosant les émissions de France Musique pour les faire pousser

titreoriginal : A space odyssee. affiche ressortie des années 70 pour un film de 1968. taille : 120x160 cm. réalisateur : Stanley Kubrick. acteur : Richard Strauss, Györkgy Ligeti, Trailers News et dossiers Photos Casting Date de sortie 26/09/1968 Au cinéma 02h29 Titre original 2001 A Space Odyssey Réalisé par Stanley Kubrick Avec Keir Dullea , Gary Lockwood , William Sylvester , Douglas Rain , Daniel Richter , Leonard Rossiter , Margaret Tyzack , I Robert Beatty , I Sean Sullivan , Frank Miller , I Ed Bishop , Edwina Carroll , Heather Downham , Penny Brahms , Maggie d'Abo , Chela Matthison , Judy Kiern , Alan Gifford , Ann Gillis , Vivian Kubrick , Kenneth Kendall , Kevin Scott , Martin Amor , Bill Weston , Glenn Beck , Mike Lovell , John Ashley , Jimmy Bell , David Charkham , Simon Davis , Jonathan Daw , Péter Delmár , Terry Duggan , David Fleetwood , Danny Grover , Brian Hawley , David Hines , Tony Jackson , John Jordan , Scott MacKee , Laurence Marchant , Darryl Paes , Joe Refalo , Andy Wallace , Bob Wilyman , Richard Woods , S. Newton Anderson , Sheraton Blount , Ann Bormann , Julie Croft , Penny Francis , Marcella Markham , Irena Marr , Krystyna Marr , Kim Neil , Jane Pearl , Penny Pearl , Burnell Tucker , John Swindells , John Clifford Genre Science-fiction Nationalité États-Unis, Royaume-Uni Science-fiction Synopsis 2001 l'odyssée de l'espace Aux temps préhistoriques, une petite tribu d’hommes-singes intallée au milieu de rochers arides lutte difficilement pour la vie. Un matin, ils trouvent devant eux une mystérieuse dalle noire monolitique. L’un des singes touche la pierre et apprend alors à se servir d’un os de quadrupède pour tuer ses ennemis... Quatre millions d’années plus tard, en 2001, un savant de l’espace, le Dr Heywood Floyd, débarque sur la lune pour examiner une dalle noire semblable à celle des singes, qui était enterrée sous la surface de l’astre, selon les premières observations, l'objet émettrait un signal mystérieux... critique 2001 l'odyssée de l'espace 2001, l'Odyssée de l'espace Critique Le devenir de l’humanité. Critique - Film 12/12/2007 dernières news et dossiers 2001 l'odyssée de l'espace De 2001, l'Odyssée de l'espace à Shining nos Kubrick préférés Les Sentiers de la gloire, Lolita, Docteur Folamour, 2001, l'Odyssée de l'espace, Orange mécanique, Barry Lyndon, Shining, Full Metal Jacket... Dossier - Film 12/04/2020 Stanley Kubrick explique la fin de 2001, L'odyssée de l'espace dans une interview inédite L'un des plus grands films de l'histoire du cinéma est aussi l'une des plus grandes énigmes. Mais Kubrick vient de donner l'explication. Actualité - Film 07/07/2018 Ridley Scott part sur les traces de Kubrick et produit 3001 L'Odyssée Finale L'un des plus grands réalisateurs actuels ose le sacrilège ultime en produisant une deuxième suite au chef-d'oeuvre de Stanley Kubrick. Actualité - Série 04/11/2014 Voir toutes les news et dossiers sur 2001 l'odyssée de l'espace dernières bandes-annonces 2001 l'odyssée de l'espace Voir toutes les bandes annonces de 2001 l'odyssée de l'espace dernières photos 2001 l'odyssée de l'espace Voir toutes les photos de 2001 l'odyssée de l'espace
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Description Détails de l'Affiche Affiche française originale du film de science-fiction épique de Stanley Kubrick, "2001 L'Odyssée de l'espace", sorti en 1968. Scénario de Kubrick et d'Arthur Clarke. Oscar des Meilleurs effets spéciaux en 1969. Lithographie entoilée sur lin Format 120 x 160 cm Référence ODYSSEE ESPACESKUBRICK313 Fiche technique Hauteur 160 cm Largeur 120 cm Affiche ancienne originale du film "2001 L'Odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick 1968 Vous cherchez ou souhaitez vendre cette affiche ? Nous sommes à votre disposition par e-mail et téléphone pour vous renseigner. Votre sécurité est importante pour nous. Toutes les transactions effectuées sont sécurisées, la phase de paiement s'effectue sur le site de la banque. Pour toute question, vous pouvez nous contacter au +33 1 45 48 77 97. Livraison offerte en France et International Les affiches anciennes qui vous sont proposées sont d'époque, expertisées par Elbé, lavées et entoilées par nos artisans en France.
2001 l’odyssée de l’espace. Posté le 6 février 2022 par Ecran Savinois. Ciné Culte. Science-fiction de Stanley Kubrick – Durée : 2h21 Avec : Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester. A l'aube de l'Humanité, dans le désert africain, une tribu de primates subit les assauts répétés d'une bande rivale, qui lui dispute un point d'eau. La découverte d'un

Accueil / Affiches / Affiches Artistes et éditeur / Lino la tomate / Affiche Lino la tomate “2001, l’Odyssée de l’espace” 30 x Description Avis 0 Affiche 30 x 40 de chez Lino la tomate. Affiche film par Lino la Tomate ! L’affiche du film entièrement revisitée et inédite. Illustration originale 100% vectorielle pour une qualité d’impression optimale, même en très grand format. • HD Poster Affiche haute-définition impression HD FINE ART sur PAPIER EXTRA MAT 200g avec encres écologiques UltraChrome EPSON. Produits similaires

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